Vous êtes un joueur old school ? Vous radotez régulièrement en pestant que les jeux vidéos, c’était mieux avant ? C’est le paradoxe du joueur
Lance la game !
UnDropDansLaMare analyse en 4 minutes 30, l’évolution des jeux vidéo depuis 2005, ou plutôt comment ils sont pensés.
La difficulté a ainsi été grandement remise en question ces dernières années, permettant au plus grand nombre de jouer à des jeux simplifiés.
Rappelez vous de ces parties ou vous rejouiez inlassablement des parties afin de passer un niveau, ou le nombre d’essais étaient simplement conditionnés par le nombre de crédits ou de vie qu’ils vous restaient: pression, analyse, essais, entêtement…un jeu se terminait avec sueur, les pouces rougis et une fierté toute personnelle, incomprise du monde extérieur. Je me souviens encore de ma joie d’avoir fini Skate or Die sur Game Boy, finir Sonic and Knuckles sans pouvoir sauvegarder une partie…de rejouer à Street of Rage pour voir toutes les fins disponibles (et le plaisir toujours actuel procuré par la musique de Yūzō Koshiro. HAAA la musique des boss !). Tous ces jeux aux Boss techniques et parfois complexes. Rien que terme « Boss » a presque disparu du paysage et langage vidéo ludique actuel.
A peine reste-t-il aujourd’hui Dark Souls debout, sur les cendres de ses ancêtres.
Le paradoxe du joueur, ou comment vous faire passer pour un bon joueur du 21e siècle (les fans d’Assassin’s Creed apprécieront…)
)
Et pour faire un petit comparo bien actuel: souvenez vous de Steel Battalion à la défaite écrasante (de la sauvegarde) face aux 2 minutes d’attentes nécessaires à la livraison de votre titan dans TitanFall ; )
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