Il est vrai que les gens font des trucs de fou et dans les sports de glisse, le skate conserve toujours une très belle place: esthétique, physique et exigeant, il est tout à fait possible de la transposer sur l’eau. Le wake se libère…
Le wake est au ski ce que le snowboard est au ski
La pratique du wakeboard prend sa source dans les années 80: après un ras le bol général de la glisse de face tant dans la neige que sur l’eau, il est dit que l’on ne regarderait plus le danger de face, mais de profil.
Fini les pratiques à la papa, passons aux choses sérieuses: skateboard, Windsurf, surf…tous les sports de glisse à la mode se pratiquent avec succès.
Le but du wakeboard est de ne pas être dépendant des éléments dans sa pratique.
En 1983, Howard Jacobs lance des back flips grâce à une planche sanglée aux pieds sur la rivière St. Johns River à Jacksonville en Floride. Tracté par un engin à moteur (ou non bien plus tard) le wakeboard prend son envole et se pratique quelques soit les conditions (comprenez surfer en l’absence de vagues).
French touch
Ce serait Alexandre Barnoin, un français, qui aurait lancé le mouvement du wakeskate défiant les américains dans le magazine « Wakeboarding-U.S » en wakant sur une planche sans fixes.
L’intérêt du wakeskate est de se rapprocher un peu plus du skate. Sans fixes, il est impossible de claquer de gros tricks mais la pratique parait moins brutale et plus coulée que le wakeboard « brut ».
Les planches sont plus courtes, recouvertes d’un grip en mousse ou similaire au grip des skateboards.
Et c’est un film produit et réalisé par la société Noisia Vision, regroupant Grant Roberts, Matt Manzari, Chris Kallas et Nick Taylor (sur une musique de Fools Rhythm Ninja Tune xx, Vol 1 – Two Fingers) qui met en avant ce sport et cette pratique du wakeskate qui demandera beaucoup d’entrainement: de très belles images, du bon son ça donne envie…d’essayer rapidement…
NOISIA VISION Teaser from NOISIA VISION.tv on Vimeo.
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